Dans le silence feutré d’un musée, une œuvre semble soudain s’animer
Sur un mur blanc, une projection s’éveille :
le souffle de David Linx traverse les forêts de pixels.
Au loin, les voix de Mawaca (grupo aberto ao público) s’élèvent,
tissent un lien invisible entre les continents.
Le Brésil rencontre l’Europe,
la tradition dialogue avec le futur.
Le public ne regarde plus : il entre dans le son.
C’est là que commence le clip —
non pas une vidéo, mais une scène vivante du PixiPack,
intégrée à l’espace muséal comme une œuvre augmentée.
Le sol vibre.
Les tableaux respirent.
Le musée devient instrument.
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